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29 mars 2011 2 29 /03 /mars /2011 17:08

Dans la rubrique "page" vous trouverez un texte écrit par Thierry et que j'ai mis en page, d'après un châpitre des "Mémoires de François Cayol" Fils de Baptistin Marius Cayol et de Marie Larrose, marin comme son père et son grand-père, mais qui fit carrière dans la marine militaire et fut Enseigne de Vaisseau. Il cotoya le Général de Gaulle à Londres, et c'est cet épisode que nous relatons.

 

 

10-09 

 

Marin comme son père Baptistin, à peine plus grand que lui (il mesurait en tout cas moins d’1,60 mètre), François Cayol, dit « Bab’s », personnage éminemment attachant et affectueux, a joué un rôle important durant la seconde guerre mondiale, officier de marine et proche du Général De Gaulle.

f38949a692704872.jpgIl avait été chargé par l’Amiral Muselier (père de la Croix de Lorraine et, accessoirement, grand-père de Renaud Muselier), et par de Gaulle lui-même d’effectuer depuis Londres, des repérages dans la perspective d’un débarquement en Afrique française (et plus précisément au Sénégal).

Bab’s arriva à la conclusion que toute opération serait vouée à l’échec, comme il le raconte dans ses Mémoires.

Néanmoins, l’Amiral Muselier lui répondit : « je ne partage pas ta conclusion »  (les deux hommes se tutoyaient malgré leurs grades respectifs, parce qu’ils étaient tous deux Marseillais). Il lui annonça qu’une opération était programmée sur Dakar.

Mais l’affaire ne se fit pas comme prévu, une brouille intervint entre De Gaulle et Muselier, et le Lieutenant de Vaisseau François Cayol se trouva propulsé au premier plan, directement rattaché à la personne du Général.

Tout se précipita soudain et le 31 août 1940, tout l’Etat-major de de Gaulle (et Bab’s, bien sûr) quitta Liverpool à bord de deux paquebots hollandais, malgré de terribles bombardements allemands. Les navires furent rejoints par plusieurs bâtiments militaires et civils. Destination : Dakar. L’opération « Menace » était lancée.

François restait sceptique quant au succès de l’opération, d’autant qu’elle était dirigée par de jeunes officiers.
Le 9 septembre, après une traversée sans histoires, la flotte alliée atteignait une position stratégique, à l’ouest du Détroit de Gibraltar, où elle était rejointe par le reste des bâtiments britanniques.

La flotte réunie prit officiellement le nom de Force M.

Le début de l’opération « Menace » était programmé pour le 14 septembre.

Le 12, le passage inopiné d’une division de croiseurs français dans la zone perturba le scénario, ce qui eut pour effet de provoquer la colère de de Gaulle.

La Force M fit cap sur Freetown, en Sierra Leone, et mouilla dans ce port le 14 septembre. C’était raté pour l’effet de surprise escompté. A Dakar, tout le monde était désormais au courant. Mais, plus ennuyeux, à Vichy et à Berlin aussi.

A terre, durant un séjour éprouvant, François ne lâchait pas De Gaulle d’une semelle. Il l’accompagnait dans ses inspections et servait d’intermédiaire avec les Anglais, que le futur Président de la République n’aimait pas beaucoup (et qui, il faut bien le dire, le lui rendaient bien).

Le 21 septembre, l’opération « Menace » put redémarrer

Le 23, la Force M était en vue de Dakar, grossie de trois nouveaux bâtiments britanniques. Les hélicoptères entrèrent en action, puis les avions, qui durent faire face à des tirs de DCA. Les navires furent également pris pour cible, tandis que De Gaulle lançait à la population sénégalaise (et donc française à l’époque) des appels au calme.

Moins conciliants et las de se faire tirer dessus, les Britanniques prirent l’initiative de riposter aux coups de boutoir de l’armée de Pétain, vraisemblablement appuyée par l’Afrikakorps allemand.

Face à la tournure que prenaient les événements, De Gaulle et les officiers alliés envisageaient de cesser le combat et de décrocher. Mais la réponse du Premier Ministre Anglais Winston Churchill fut sans ambiguïté : « Puisque nous avons commencé, continuez le combat ».

Bab’s, lui, observait et attendait.

Il n’attendit pas longtemps. Le 24 septembre à 1 heure, De Gaulle annonça qu’il se refusait à ce que des Français combattent d’autres Français et qu’il se retirait, laissant le soin aux forces britanniques de continuer si elles le souhaitaient.

Au soir de cette journée, De Gaulle posa la main sur l’épaule de son aide de camp et lui dit simplement « Ah, mon pauvre Cayol… »

Fin de l’aventure.

Pour Bab’s, l’opération « Menace » aurait peut-être réussi si De Gaulle s’était présenté seul devant Dakar. C’est la présence anglaise qui a tout fait capoter.

A sa retraite, François s’est installé avec sa femme Adrie et sa fille Françoise boulevard Rodocanachi, dans un superbe appartement des quartiers huppés de Marseille (dans mes souvenirs, le salon était immense...). C’est là que, traditionnellement, la famille Cayol au grand complet se retrouvait pour fêter la nouvelle année. Parallèlement, Bab’s avait acquis un confortable domaine à Cotignac, dans le Var, où il a été inhumé.

 

  Texte de Thierry mis en page par Selma.

 

Selma Cayol

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7 mars 2011 1 07 /03 /mars /2011 17:03

Roland CAILLOL fils de Louis CAILLOL et de Marguerite AUDIBERT, c'est à dire premier enfant de l'union des deux branches CAILLOL issues de Jacques et d'Agnès Bouffier, est né le 14 septembre 1603 à Marseille paroisse Saint Julien.

  

On peut supposer qu'il fut cultivateur comme son père.

  

Il épouse par contrat à Marseille le 21 mars 1626 Claude CARBONEL dite "claudette" née vers 1612 à Marseille, fille d'Estienne CARBONEL et de Honorade BREST, elle-même originaire de Gémenos.

  

Claudette hérite avec son frère de terres, vignes, bois et maisons à La Penne sur Huveaune Le couple se partage donc entre Saint Marcel et La Penne.

  

picture

Ils auront 7 enfants connus :

 

-Louis CAILLOL décédé entre 1651 et 1652, il est témoin au mariage de sa soeur Honorade en 1651, mais ne figure pas sur le testament de sa mère en 1652.

 

-Honorade CAILLOL qui épouse le 15 avril 1651 Pierre BISTAGNE, assistée de sa mère et de deux de ses frères : Louis et Jean-baptiste.

 

-Jean Baptiste CAILLOL né en 1626, héritier universel de son père en 1652, propriétaire de la maison qu'il habite. 

 

-Valentin CAILLOL né à Marseille paroisse de Saint Marcel vers 1628 qui épouse à Marseille Saint Julien le 16 septembre 1660 Clère GOUDE ( article suivant).

 

-Jacques CAILLOL né le 3 mars 1635 à Marseille, paroisse de saint Julien, marinier il épousera Anne VOLLIERE.

 

-Anne CAILLOL née le 2 janvier à Marseille, paroisse de saint Julien, elle épouse le 18 janvier 1660 ( folio 3)à La Major de Marseille François GASQUET dont descendance.

 

-Catherine CAILLOL, née à Marseille, paroisse de saint Julien le 24 janvier 1640, et dont nous ne savons rien !

 

 

 

A la mort de leur père vers 1652, surviendra de nombreux litiges entre Claudette Carbonel et deux de ses fils Valentin et Jacques, dus à la teneur du testament que Claudette fera  en 1652( folio 199 cote 363E179), ainsi qu'au partage entre ses deux fils, mais ceci est une autre histoire, que je vous conterai prochainement.

 

le 18 juillet 1682, en sa maison de la Penne sur Huveaune Claudette meurt, elle sera inhumée dans l'eglise Saint Laurent le 19 juillet 1682.

 

 

Selma Cayol

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6 mars 2011 7 06 /03 /mars /2011 13:29

 

Prénoms féminins rencontrés au cours de mes recherches généalogiques

 

 Eyssalene, sillone, luquette, alayette, alyone, ganedone, doumenge, menine, jaumette, bitrone, jacomone, elix, hugone, catiche, catin, chaterine, suffrete, mabilette, batrone, marchiane, douce, gaspare, rixende, reyniere, aycarde, luquine, plasene, eimildis, placide, doucette, garsende, fresa, frize, bolbone, alazacis, trophemette, trophimette, osacique, esclarmonde, estanque, banone, violande, chaffrette, melchionne, cielette, alamande, bilone, sillette, gassende, alaette, alasacie, borquette, sicarde, siffrone, fleurie, esprite, bielle, jolie, maraude, massellone, aigline, biscontine, maragde, jauquine, quitterie, arzalie, quitterie, theotiste, huga, guigonne, colastique, trephume, insulé, gordien, polonie, susaire, beaudely, baudile, honnorade, auxile, aldegonde, engleberte, pharaïlde.

Tous ces prénoms, pour le moins « très moyenâgeux » existent dans la généalogie de la famille Cayol !

poésie dans un jardin 15e

Faites votre choix !!! car ça vaut bien les prénoms des "héroïnes de feuilletons US et autres" actuels …

Selma Cayol

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4 mars 2011 5 04 /03 /mars /2011 20:04

Continuons a fouiller dans notre Boîte de chocolats ...et " A bon marseillais, il fallait un autre bon marseillais"....Jean-Claude Gaudin marseillais du quartier de Mazargues...a un couple en commun avec Thierry.

 

De ce couple Valentin CAILLOL et Clère GOUDE descendent  Jean-Claude GAUDIN et Thierry CAYOL et sa fratrie.

 

Jean-Claude GAUDIN, Maire de Marseille

 

maire3webJean-Claude Gaudin est né le 8 octobre 1939 à Mazargues, dans les quartiers sud de Marseille. Les origines de sa famille remontent à 1600 dans ce village indépendant de Marseille jusqu’en 1789.

Professeur d'histoire et de géographie, il enseignera pendant plus de 15 ans au collège et lycée Saint-Joseph les Maristes à Marseille. Il participe très jeune à la vie politique. En 1965, après son service militaire, il est élu sur la liste socialo-centriste "Deferre-Rastoin" contre la liste Gaulliste UNR. Il devient le benjamin du conseil municipal de Marseille. Il est réélu en 1971.

Il adhère, en 1973, aux Républicains Indépendants et participe, l'année suivante, à la campagne présidentielle de Valéry Giscard d'Estaing.
1978 – Première élection à l'Assemblée Nationale
En 1986, Jean-Claude Gaudin conduit dans les Bouches-du-Rhône les listes UDF aux Législatives et aux Régionales. Le 25 Avril 1986, il devient président du premier conseil régional de Provence-Alpes-Côte d'Azur élu au suffrage universel direct
En 1988, après la dissolution de l'Assemblée Nationale, il est réélu, pour la 4ème fois, député des Bouches-du-Rhône, toujours dans la 2ème circonscription de Marseille, avec 60,63 % des suffrages exprimés. Il est reconduit à la Présidence du Groupe UDF à l'Assemblée Nationale.
En Mars 1989, Jean-Claude Gaudin se présente pour la deuxième fois à la Mairie de Marseille mais il échoue dans sa tentative.
1989 – Le choix du Sénat
Il est réélu président du conseil régional le 27 Mars 1992.

En 1995, Jean-Claude Gaudin accède au poste de maire de Marseille.

Sa liste "Ambition Marseille" est élue dès le premier tour dans le 4ème secteur et remporte quatre autres secteurs sur les sept restants au second tour.
En juin 1997, avec la dissolution de l'Assemblée Nationale, il cesse ces fonctions ministérielles.
Le 14 juillet de la même année, il est fait Chevalier de la Légion d’Honneur.

Le 6 octobre 1998, il devient Vice-Président du Sénat.

Le 15 septembre 2000 il est élu Président de la nouvelle Communauté urbaine Marseille Provence Métropole, créée à son initiative.
Comme en 1995, Jean-Claude Gaudin est réélu dès le premier tour dans son fief électoral des 6ème et 8ème arrondissements
Cet excellent résultat se traduit par une majorité absolue de 61 sièges sur 101.

Jean-Claude GAUDIN est réélu Maire de Marseille le 25 mars 2001 et président de la Communauté Urbaine Marseille Provence Métropole le 11 avril suivant.

Le 3 octobre 2001, Jean-Claude Gaudin est réélu vice-président du Sénat pour 3 ansLe 18 Octobre 2001, il est élu membre de l’Académie de Marseille dans la section des Beaux-Arts.

Du 25 octobre 2002 au 24 octobre 2003, Jean-Claude Gaudin préside l’
Association des Communautés Urbaines de France.

En décembre 2002, il succède à Renaud Muselier, nommé Secrétaire d'Etat aux Affaires Etrangères, à la Présidence de l'Etablissement Public d'Aménagement Euroméditerranée qu'il quittera en décembre 2005.

Elu Vice-Président délégué de l’UMP le 17 novembre 2002, aux côtés d’Alain Juppé, président et de Philippe Douste-Blazy, secrétaire général.

A nouveau candidat à cette fonction, aux côtés de Nicolas Sarkozy et de Pierre Méhaignerie, il est réélu le 28 novembre 2004, Vice-Président de l’UMP. Il en devient, le 2 juin 2005, le Président délégué à la suite de la nomination de Nicolas Sarkozy au gouvernement.

Le 6 octobre 2004, Jean-Claude Gaudin est réélu pour la 3e fois Vice-Président du Sénat. Il est désormais le premier Vice-Président de la Haute-Assemblée.


Ancêtres communs

 

Sosas communs a Thierry CAYOL et Jean-Claude GAUDIN

 

Valentin CAILLOL et Clère GOUDE

Ils eurent entr’autres enfants :

 

Rose CAILLOL née vers 1675 à Saint-Marcel terroir de Marseille, décédée le 7 avril 1745 à Mazargues, elle épouse Anthoine TRICON décédé à Mazargues le 4 avril 1734

 

Ils sont les ancêtres de Jean-Claude GAUDIN ( sosas 1450 et 1451 G.11)

 

Nicolas CAILLOL né le 16 novembre 1671 à Saint-Marcel, il épouse le 2 février 1697 à Saint Marcel Elisabeth REYNIER née le 29 septembre 1680, décédé le 24 décembre 1758 à Saint Marcel

 

Ils sont les ancêtres de Thierry CAILLOL (sosas 512 et 513 G.10)

 

N.B. Il est à noter que les parents d’Elisabeth REYNIER  André Reynier et Marguerite Lieutaud font également partie de l’ascendance d’Albert CAMUS écrivain mondialement connu.

 

SC.

 

 

 

 

 

A bientôt pour une autre surprise généalogique.

 

 

Selma Cayol

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4 mars 2011 5 04 /03 /mars /2011 14:51

 

Lorsque l'on commence une généalogie, c'est un peu comme la boîte de chocolats de la maman de  Forrest Gump, on ne sait jamais sur quoi on va tomber !

 

Qu'elle ne fut pas notre surprise en découvrant les liens très anciens ou quelquefois plus récents... existants entre Thierry et certains personnages connus célèbres ou non d'ailleurs, tels que Che Guevara, Albert Camus, le Pape Urbain V et même ...Jean Claude Gaudin, l'actuel Maire de Marseille...

 

Le premier de la liste sera celui auquel nous nous attendions le moins : Che Guevarra... 

 

  

 che

 

 

 

Ernesto Rafael Guevara de la Serna,

 

                  plus connu sous le nom de Che Guevara ou Le « Che »

 

 (prononcé communément « tché guévara» en français), né le 14 juin 1928 à Rosario, Argentine et exécuté le 9 octobre 1967 à La Higuera (Bolivie), est un révolutionnaire marxiste et homme politique d'Amérique latine, dirigeant de la guérilla internationaliste cubaine.

  

 

Ernesto Guevara de la Serna naît le 14 juin 1928 à Rosario, Argentine, de Ernesto Guevara Lynch et Celia de La Serna tous deux d'ascendance irlandaise et espagnole noble. Beaucoup d'éléments indiquent cependant que sa date de naissance officielle ait été reculée d'un mois pour éviter un scandale, car trop proche du mariage. C'est-à-dire que le Che Guevara serait né le 14 mai 1928. Ses parents sont de lignée aristocratique mais vivent comme une famille de classe moyenne, avec un penchant pour des idées de gauche non autoritaristes, s'opposant notamment à Perón et à Hitler. La tante d'Ernesto, qui a élevé sa mère à la mort prématurée de leurs parents, est communiste.

 

 Alors qu'il est jeune étudiant en médecine, Guevara voyage à travers l'Amérique latine, ce qui le met en contact direct avec la pauvreté, dans laquelle beaucoup de gens vivent alors. Son expérience et ses observations pendant ces voyages l'amènent à la conclusion que les inégalités socio-économiques peuvent seulement être changées par la révolution. Cette conclusion le pousse à intensifier son étude du marxisme et à voyager au Guatemala afin d'apprendre des réformes entreprises par le président Jacobo Arbenz Guzmán, renversé quelques mois plus tard par un coup d'État appuyé par la CIA.

 

 

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Peu après, Guevara rejoint le mouvement du 26 juillet, un groupe paramilitaire dirigé par Fidel Castro. Après plus de deux ans de guérilla, ce groupe prend le pouvoir à Cuba en renversant le dictateur Fulgencio Batista en 1959. Guevara occupe plusieurs postes importants dans le gouvernement cubain, d'abord procureur d'un tribunal révolutionnaire qui exécute plusieurs centaines de policiers, militaires, mais aussi de nombreux civils, jugés coupables de crimes de guerre, créé des camps de travail, puis échoue en partie dans l'industrialisation du pays en tant que ministre. Il écrit pendant ce temps plusieurs ouvrages sur la pratique de la révolution et de la guérilla. En 1965, il quitte Cuba avec l'intention d'étendre la révolution au Congo-Léopoldville, sans succès, puis en Bolivie où il est capturé et exécuté sommairement par l'armée bolivienne entraînée et guidée par la CIA.

 

 


Après sa mort, Che Guevara est devenu une icône pour les mouvements révolutionnaires marxistes du monde entier. Une photo de lui par Alberto Korda est considérée comme une des plus célèbres au monde.

 

 

 

 

Ancêtres(sosas) communs avec Thierry CAYOL 

  

Gilbert Ier de GEVAUDAN et Gerberge de PROVENCE 

Ils eurent deux filles :

  

Douce de Provence, comtesse de Provence, née vers 1090, décédée vers 1129. Elle épouse le 3 février 1112 Raymond-Berenger III Cte de Barcelone.

 

Ils sont les ancêtres de « Che » GUEVARA (sosa n°23.023.635 G.26)

 

Etiennette de Gevaudan, épouse avant 1116 Raymond-Raimbaud des Baux. 

  

Ils sont les ancêtres de Thierry CAYOL (sosa n°99.864.593 G.28) 

 

 000-GUEVARA de la SERNA Ernesto

 

 



 

 

(ndlr) : Sosa : méthode de classement qui donne le numéro 1 à la personne qui construit l'arbre, ici en l'occurence Thierry Cayol, et dont le père sera le numéro 2, le grand père paternel numéro 4 et ainsi de suite.

G: lettre se rapportant à la génération, ici génération 26 pour Guevarra et génération 28 pour Thierry.

 

SC. 

 

 

A bientôt...dans la boîte de chocolats !

 

SC.

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26 février 2011 6 26 /02 /février /2011 13:49

Louis CAILLOL est un des fils de Roland CAILLOL et d'Honorade MANEILLE, de lui on ne sait quasiment rien, sauf qu'il est né à Marseille et qu'il était Laboureur.

 

Par contre on sait qu'il épouse le 2 Octobre 1597 Magdeleine AUDIBERT descendante de "Percival le Martegal AUDIBERT" du côté paternel et du Vieux CAILLOL (comme Louis son mari) côté maternel.

 

  

Ne dit-on pas qu'il vaut mieux se marier "dans sa maison"  afin d'éviter les désagréments de l'inconnu et  plus encore de disperser le patrimoine.

 

Sans bien le savoir, Louis et Magdelaine ont obéi à l'adage.

 

Voici comment :

 

 

Ascendance directe de Louis CAILLOL :

 

ses parents :

 

Roland CAILLOL marié à Honorade MANEILLE

 

ses grands parents :

 

Hugon CAILLOL marié à Catherine MAGALLON

 

ses arrières grand- parents :

 

Claude CAILLOL marié à Guilhelme CAMOIN

 

ses arrières-arrières grand-parents :

 

Etienne CAILLOL marié à Silette AMALRIC

 

lui-même fils de Jacques CAILLOL et d'Agnès BOUFFIER 

 

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Voyons à présent l'ascendance de Magdelaine AUDIBERT

 

ses parents :

 

Honorade CAILLOL mariée à Jean Martégal AUDIBERT

 

ses grand-parents :

 

Louis CAILLOL marié à Julie OLIVIER

 

ses arrières-grand- parents :

 

Honoré CAILLOL marié à Baptistine MAGALLON

 

ses arrières-arrières-grand-parents :

 

André CAILLOL marié à Marguerite ..

 

 

ses arrières-arrières-arrières-grand-parents :

 

Antoine CAILLOL marié à Alyone

 

lui-même fils de Jacques CAILLOL et d'Agnès BOUFFIER

 

 

 

Jacques CAILLOL étant le fils de Jean dit " le Vieux CAILLOL, Louis et Magdeleine ont donc un ancêtre commun, car descendants de deux frères CAILLOL.

 

 

 

 

 

 

 

Veuf, Louis épousera Catherine VILLECROSE dont on ne sait absolument rien a ce jour.

 

 

Avec son épouse Magdeleine AUDIBERT Louis  aura au moins 1 fils :

 

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Roland né le 14 septembre 1603 à Marseille (St.Julien) épouse  le 21 mars 1626 Claudette CARBONEL. (voir article suivant).

 

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24 février 2011 4 24 /02 /février /2011 18:52

Roland CAILLOL, fils de Hugon et de Catherine MAGALLON, excerce la même profession que son père, dont on peut penser qu'il en était le digne successeur, étant le seul fils connu, il est donc Laboureur.

 

Le 15 septembre 1555 à Trets, il épouse par contrat, Honorade MANEILLE, née à Peynier charmant petit village provençal s'il en est.

 

peynier

Elle est la fille de Barthélémy MANEILLE et de Marguerite MOTE, on ne lui connait qu'une soeur Melchione. Pour bien se fondre dans les méandres des alliances telles qu'on les concevait à l'époque, sachez que Melchione MANEILLE épouse Jean "pichon" JULLIEN, fils de Pierre JULLIEN et de Mathieune CAILLOL, tante de Roland, car fille de Claude CAILLOL et de Guilhelme CAMOIN et soeur d'Hugon CAILLOL....vous me suivez ???

 

 

Bien, Roland et Honorade auront 8 enfants connus.

 

Magdelaine CAILLOL, née le 18 décembre 1561 à Marseille (St.Marcel) elle mourra après 1610(car présente au mariage de sa fille Baptistine). Elle épouse le 18 mars 1582 à Marseille Louis JOURDAN laboureur né à Aubagne, dont une fille connue Baptistine qui épousera le 8 septembre 1610 André PAUL.  

 

 

Jolie CAILLOL née le 4 novembre 1564 à Marseille (St.Marcel)  hélas décédée après 1640. Elle avait épousé à Marseille le 3 février 1586 Georges CAILLOL dont elle aura 4 enfants 3 garçons dont Paul CAILLOL et une fille Louise qui épousera le 19 avril 1610 Antoine CAILLOL.

 

Marquet CAILLOL né à Marseille (St.Julien) le 28 septembre 1567.

 

Louis CAILLOL épouse Madeleine AUDIBERT ( article suivant).

 

Guillaume CAILLOL né à Marseille, qui épouse audit Marseille le 18 septembre 1590, Lo uise DURBEC fille d'Antoine DURBEC et de Jeanne CAILLOL. Ils auront 1 fille connue.

 

Antoine CAILLOL né à Marseille.

 

Guillaume CAILLOL dit " le mineur " né à Marseille

 

Bernard CAILLOL né à Marseille.

 

 

SC.

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24 février 2011 4 24 /02 /février /2011 18:19

Hugon CAILLOL fils de Claude CAILLOL et de Guilhelme CAMOIN est né à Marseille à La bastide des Caillols, on ne connait pas grand chose de lui, sauf qu'un jour il épousa Catherine MAGALLON fille de Jean et de Jeanne DESPLAN

 

 

femme aux travaux des champs 15e 

Le grand père maternel de Catherine, Bernard DESPLAN était lui aussi nourriguier !

 

Décidément on n'arrêtait pas de compter les moutons dans cette famille !!!

 

Le couple Hugon et Catherine eut 3 enfants connus.

 

Charlotte CAILLOL née à Marseille, elle épousa Claude ESTIENNE fils de Jacques et de Martine FOSCATY.

 

Jaumette CAILLOL née à Marseille épousa le 22 aout 1544 Barthelemy BLANC, fils de Pierre BLANC et de Marguerite.

 

Roland CAILLOL, laboureur né à  Marseille, épousa Honnorade MANEILLE de Peynier ( article suivant).

 

 

Devenue veuve encore jeune, elle épouse Pierre BILLAUD décédé en 1572 dont elle aura un fils Jean BILLAUD.

 

Elle meurt vers 1560.

 

 

SC.

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22 février 2011 2 22 /02 /février /2011 20:01

Claude CAILLOL né probablement vers 1460 à la Bastide des Caillols, est le fils ainé d'Etienne CAILLOL et de Silette.

 

En s'établissant a la Bastide on est en droit de penser qu'il est devenu fermier.

 

 

904933 

Vers 1480 il épouse Guilhelme CAMOIN, du terroir des Camoins, fille de Jean CAMOIN et de Alyone.

 

Ils auront 10 enfants connus.

 

 

Mathieu CAILLOL, né à Marseille , décédé avant 1587 à Marseille, sans autres renseignements.

 

Hugon CAILLOL, né à Marseille  y décédé avant 1540 épouse Catherine MAGALLON ( article suivant)

 

Catherine CAILLOL , décédée avant 1564 épouse Honoré PASCON dont elle aura 1 fils Antoine PASCON.

 

Jean CAILLOL, décédé le 19 janvier 1564 à Marseille épouse Marie MABILLY dont 8 enfants, 4 fils et 4 filles.

 

Magdeleine CAILLOL épouse Jean GRANE, fils de Lazarin et de Jauquine AMPHOUX

 

Jeanne CAILLOL épouse Guillaume GASQUE, fils de Monon GASQUET et de Marthe AUBOY

 

Michel CAILLOL épouse en 1eres noces Baptistine MABILLY dont 2 garçons et 1 fille

                              et en 2eme noces Marguerite BONNET dont 1 fille Cécile.

 

Pierre CAILLOL épouse Jeanne MAGALLON dont il aura 2 fils. Il teste en 1ere redaction le 12 decembre 1567 et en seconde le 14 juin 1570 à Marseille.

 

Alyone CAILLOL épouse François JULLIEN dont elle aura 2 fils, Jacques et Jean.

 

Mathieune CAILLOL épouse Pierre JULLIEN dont 7 enfants, 5 garçons et 2 filles.

 

Guilhelme CAMOIN, est la petite-fille de Jean CAMOIN dit " le vieux CAMOIN", né vers 1390  marié 3 fois ,père de famille nombreuse. En 1447, il loue la ferme de Pied forçat, aux frères precheurs, et s'installe sur le terroir qui deviendra un siècle plus tard " la Bastide CAMOIN" et qui comptera environ 19 familles. Il est contemporain du Vieux CAILLOL.

 

"Vieux" à cette époque, n'avait pas le même sens que de nos jours, cela signifiait simplement "le plus ancien encore vivant".

 

Guilhelme avait un frère : Jacques "goyran" CAMOIN, dont une des filles Antoinette, épousera Guillaume CAILLOL descendant d'Antoine CAILLOL frère d'Etienne et tous deux fils de Jacques et d'Agnès.

 

Comme le monde est petit n'est-ce pas !!

 

SC.

 

 

 

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22 février 2011 2 22 /02 /février /2011 14:01

Un petit calcul : Ses parents se sont mariés en 1440, lui en 1459 on peut aisément penser qu'il soit né en 1441...(ça ne trainait pas à l'époque !), donc disais-je il avait environ 18 ans à son mariage, on peut donc facilement en conclure qu'il était l'ainé des fils et en l'occurence des enfants.

 

Voici donc notre Etienne installé " à la bastide des Caillols", il exerce le métier de Nourriguier comme son père Jacques CAILLOL ...Mais il ira quand même prendre épouse dans "son village" Signes.

 

Il se marie le 1er avril 1459 à Signes avec Silette AMALRIC fille d'Hugon, native de Signes sans autres renseignements.

 

costume 16e 

Ils auront 3 enfants connus.

 

Claude CAILLOL qui épousera Guilelme CAMOIN fille de Jean CAMOIN et de Alyone. (article suivant)

 

Jeanne CAILLOL, qui elle épousera un certain Monsieur THOMAS dont le prénom nous est inconnu, mais dont elle aura un fils, prénommé lui Bertrand !

 

Thomas CAILLOL dont nous ne savons absolument rien, sauf le fait qu'il ait pu être témoin au mariage de son frère Claude.

 

Peu de choses il est vrai, mais il n'en reste pas moins qu'Etienne et Silette sont les maillons incontestés de cette immense chaine qu'est une généalogie.

 

SC.

 

 

 

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